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Annexe au Chant de la Licorne : Généralités sur les terres d'Alyor

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Annexe au Chant de la Licorne : Généralités sur les terres d'Alyor Empty Annexe au Chant de la Licorne : Généralités sur les terres d'Alyor

Message  Souryami Mar 4 Nov - 12:55

Cet annexe finissait la première partie du livre (la Quête de la Licorne) jusqu'à ce que je le supprime en définitive. Le revoilà pour les curieux :


« L'Hippocratie d'Alyor-la-Verdoyante est une contrée protégée par la puissante chaîne montagneuse astarienne sur tout son coté sud-est et par le tumultueux fleuve Dregnor sur tout son coté nord-ouest. Elle fut terre vierge sur de longs siècles, car il semble que fort longtemps nul n'osa traverser les hauts pics astariens, ni bâtir un pont ou aménager un gué pour traverser le Dregnor.
Plusieurs colonies humaines étaient basées sur la rive civilisée du majestueux fleuve car il était poissonneux et charriait parfois des minerais recherchés ; pourtant, au fil des saisons, la sombre orée forestière qui faisait face à ces colonies finit par s'entourer aux yeux des hommes d'une aura de mystère. Alors, des histoires effrayantes furent contées, pour que nul ne cherche à réveiller les démons qui, sans nul doute, devaient avoir élu domicile dans un endroit si dépouillé de toute présence humaine, si isolé et si sombre.
Or, il arriva que par une belle matinée de printemps un chevalier solitaire fit son apparition. Les habitants du lieu l'accueillirent du mieux qu'ils purent, non vraiment par générosité mais plutôt par crainte de cet homme sous sa cuirasse scintillante, chevauchant un si inquiétant animal. De fait, le cheval n'était pas utilisé chez eux – nombreux étaient ceux qui le voyaient pour la première fois de leur existence. Leur crainte se mua en stupeur lorsque le cavalier démit son casque et qu'ils s'aperçurent qu'une jeune femme était ainsi armée. Elle leur dit représenter une vieille lignée qui s'était presque éteinte ; mais elle n'était pas bavarde. Une grande curiosité semblait l'habiter, et tous constatèrent avec effroi que les sombres légendes parlant de leur forêt inaccessible éveillaient en elle le désir de découvrir ces lieux épargnés par les conquêtes de l'homme. Enfin, elle prit sa résolution, et dit : « vous découvrirez demain que mon cheval est fort et courageux ».
Le soleil se leva le lendemain sur cette jeune femme qui n'avait gardé de son équipement qu'une dague légère et qui avait enlevé tout harnachement à sa noble monture. À son signal, le grand cheval galopa vers le fleuve et se mit à nager vigoureusement, la jeune femme se laissant glisser dans l'eau à ses cotés pour être tirée par la force de son compagnon de chevauchée.
Elle finit par arriver sur la rive redoutée et s'enfonça en compagnie de son cheval sous les grands arbres de la ramure. Elle resta absente une semaine entière. On la croyait assurément morte, dévorée vive ou bien pire encore, lorsqu'elle revint toute entière bien que toute songeuse... Elle repartit immédiatement pour, affirmait-elle, rechercher les derniers fidèles de sa lignée et terminer son exil en ces lieux qu'elle avait découvert.
Elle avait en effet trouvé, en traversant la forêt deux jours durant, une région enchanteresse et fertile pourvue de nombreuses rivières, délicatement vallonnée. Elle avait aperçu de très anciennes ruines, presque entièrement fondues dans la végétation mais prouvant que l'occupation de l'homme avait déjà été ici une réalité.
La légende raconte que la dernière nuit passée en cette place, qui se trouva être l'équinoxe de printemps, elle fit un rêve magnifique où une licorne du nom d'Ona lui accorda ses bénédictions pour faire un jour de ces lieux un endroit de paix et de fraternité pour ses frères humains. Il s'agit en tous les cas de la seule explication sur l'origine du nom d'Alyor, qui semblerait être la réduction, en ancienne langue sacrée, de « Licorne Immaculée ».
Par la suite, cette équinoxe de printemps fut instaurée comme premier jour de la première année de l'Hippocratie, le compte des années à l'intérieur du pays se calculant en années avant et après Ona.
Alyor était né. Aujourd'hui, un gué et un grand pont relient les deux rives, ainsi que plusieurs bacs. »
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Annexe au Chant de la Licorne : Généralités sur les terres d'Alyor Empty Re: Annexe au Chant de la Licorne : Généralités sur les terres d'Alyor

Message  Souryami Mar 4 Nov - 12:56

Géographie : Le pays se trouve dressé contre les pentes astariennes, culminant à 4168 mètres pour le Pic du Sage ; le Plateau de la Licorne qui s'ensuit s’abaisse peu à peu vers le nord-ouest jusqu'au vaste bassin du fleuve Dregnor, le tout formant plus ou moins un octogone imparfait. Ce plateau est bordé par le Tsagh occidental, des chaînes de collines courant en particulier le long de la vaste forêt précédant le Dregnor (le massif forestier du Cheval Fougueux). Ces collines forment ainsi une séparation entre, d'un coté, la dense forêt du Cheval Fougueux et, de l'autre, le commencement du Plateau de la Licorne qui, délicatement vallonné en cet endroit et pourvu des terres les plus fertiles, rassemble ici l'essentiel des cités alyoriennes rayonnant autour de leur Capitale.

Religion officielle : Composée de l'Onaïsme et de l'Eponïsme, philosophies plaçant respectivement la légendaire Ona au centre de toute origine d'Alyor, et la Jument Reine du territoire au sommet hiérarchique traditionnel du pays. Les Alyoriens font par ailleurs tout leur possible pour se concilier par des rites et des autels les Esprits de la Nature d'une part (cultes alyssiens), et les Esprits du Foyer et de la famille d'autre part (cultes nerassiens), esprits qui semblent tous en très grand nombre.
Il est à noter que le premier bâtiment construit en Alyor, aujourd'hui situé à la Grande Place de la Capitale, fut un petit sanctuaire sur lequel fut gravé en lettres d'or le texte suivant :
« Alyor sera terre de paix et de solidarité ; tout seigneur belliqueux en sera banni. Nous considérerons que nos natures et nos substances sont unies entre elles, et réunies aussi avec Ona la Blanche qui sera respectée dans chaque masure et chaque château.
Opposons-nous au mal mais prenons garde déjà à nous même : nous ne permettrons pas que des pensées se changent en sentiments et en actions si elles ne servent aucunement la pureté onaïque.
Croyons enfin à Ona en Alyor mais, ailleurs, ne méprisons pas la connaissance des autres et ne leur imposons pas notre point de vue et notre expérience, qui nous sont donnés pour notre propre cheminement. La vérité ne saurait être que multiple. »

Hiérarchie : Le Roi Surhippiarque possède en réalité tous les pouvoirs, ainsi que les deux Maîtres Hippiarques nommés par lui. Toutefois, un Conseil assez conséquent et représentatif partage le gouvernement, et chaque seigneur de cité ou de château peut avoir son mot à dire. De plus, lorsqu'une décision peine à trouver sa réponse, elle peut être laissée à l'approbation d'Eponia la Jument Reine en personne. Pour ce faire, elle est conduite à la Clairière de Clarté, soigneusement nettoyée, pendant un dixième de jour. Si le nombre d'empreintes sur la moitié Ouest est supérieur à celui de la moitié Est, la décision est suspendue, dans le cas contraire elle est confirmée.

Coutumes : La nouvelle année se fête le jour de l'équinoxe de Printemps, instants de fêtes et de festins. Elle voit toujours l'organisation d'une grande course équestre se terminant avec la traversée du fleuve Dregnor à la nage, sur les lieux même où selon la légende le grand cheval de la fondatrice y avait nagé pour la première fois.
Une loi peu commune instaurant l'égalité entre les hommes et les femmes est en conséquence directe des origines mêmes du territoire d'Alyor. De celle ci s'ensuit une particularité tout à fait spécifique au pays : le nom de tout seigneur régnant est traditionnellement associé à celui de sa compagne, séparé par l'article « ers ». Cet état des choses est à l'origine d'un malentendu couramment répandu chez les étrangers non instruits, qui supposent par exemple telle cité alyorienne gouvernée par le seigneur Draem ers Nalinia alors que ladite cité est simplement sous la gestion du seigneur Draem et de sa dame Nalinia.

Agriculture : L'élevage du cheval représente une part importante du travail des alyoriens. Cet animal, très honoré dans leur pays, se retrouve fréquemment dans leurs oeuvres artistiques. Le lait de jument sert à la fabrication de desserts raffinés servi dans toutes les bonnes occasions, ainsi qu'à fabriquer des fromages frais communément consommés, les Tulfis. De plus, laissé à fermenter durant une à deux journées, il devient l'oluinen, la boisson la plus largement répandue.
Les céréales cultivées permettent la fabrication de galettes qui accompagnent les Dotanis (tubercules et légumes cuits à basse température dans un petit four en pierre), les plats étant fréquemment relevés grâce à plusieurs plantes aromatiques, parfois avec un petit fruit jaune provoquant une vive sensation de chaleur. La Dhral, soupe de lentilles sauvages, est régulièrement mangée, la dite lentille étant aussi moulue et fermentée en jatte de terre pour la préparation des Dasdos, crêpes farcies.
La consommation de la viande y est inconnue, celle du poisson rare.
Enfin, les cultures fruitières y sont vastes et variées, les Alyoriens mangeant régulièrement des fruits en été et disposant toujours de fruits séchés en hiver.

Lignée Équine Royale : Une race toute particulière, sélectionnée au fil des siècles pour leur grande intelligence et beauté, est soignée dans un bois qui leur est entièrement consacré, le Bois Royal. À la mort de la Jument Reine, la plus noble et la plus intelligente en cette lignée est nommée à sa suite. Le Surhippiarque et, éventuellement, les deux Hippiarques, possèdent également l'insigne honneur de monter un étalon royal.

Prêtresses Eponiennes : Chaque printemps, une dizaine parmi les plus belles et les plus sages jeunes filles fêtant leur seizième anniversaire dans l'année sont appelées à veiller et soigner les chevaux de la Grande Lignée. Habillées de blanc, elles acquièrent le titre de grandes prêtresses et sont initiées aux plus hautes connaissances spirituelles et aux hymnes les plus sacrés. À l'issue de six années de service, elles quittent cette prêtrise particulière et sont laissées libres de choisir la charge qu'elles désirent au sein des instances hippocratiques.
Elles excellent souvent dans leur fonction traditionnelle de pacificatrices entre toute grande ou petite dissension.

Union Onaïque : Certaines terres étrangères vénèrent parfois le Mariage, au sein duquel un homme et une femme s'unissent pour la vie. Pour un Alyorien, cette affaire peut paraître étrange car, de son point de vue, soit une union est suffisamment forte pour se passer d'une telle assurance, soit elle ne l'est pas et un tel mariage ne peut être que source de soucis. De plus, les Alyoriens remarquent souvent que pour ces couples étrangers, de façon plus ou moins masquée ou plus ou moins consciente, l'homme et la femme ont des difficultés à se sentir égaux. Il est entendu que ce couple peut oublier ses différences de sexe, mais la situation décrite peut revenir à la moindre provocation, l'homme recommençant à se savoir homme et la femme recommençant à se sentir femme.
La situation est tout à fait différente pour les Alyoriens. Ils vénèrent pour leur part l'Union Onaïque, au sein de laquelle un homme et une femme, ayant préalablement établi la stabilité de leur union, décident d'accueillir un enfant. Ils resteront alors indissociablement fidèles l'un envers l'autre jusqu'à ce que cet enfant soit capable de s'émanciper complètement. La liberté de cette institution, par rapport au mariage, n'est cependant pas la source de beaucoup de défection de couples : en Alyor, l'homme et la femme s'exercent à se sentir égaux, et n'ont donc pas l'intention de se quereller sur les propos précédemment décrits. Par ailleurs, nous pouvons supposer que la création des couples alyoriens tient davantage aux sentiments profonds qu'aux seuls désirs et ceci entraîne bien davantage de stabilité.
L'amour en Alyor n'est pas réduit à un sentiment pouvant accompagner la moindre perversion, et parce qu'il tente d'être plus pur et plus vrai il sait s'étendre à une plus vaste représentation. Il y est même rapproché d'Ona comme cause profonde de l'union du peuple. Ceci, dans tous les cas, s'élève bien au dessus de certains avis extérieurs, pour lesquels l'amour n'est qu'un simple synonyme de passion réduite aux relations intimes, quand il n'est pas celui de mièvrerie ou de fadeur lorsqu'il s'étend à plus vaste échelle – ce qui est fort loin d'être des avis alyoriens. Il pourra posséder chez eux la chaleur et la flamme la plus intense, simplement il n'aura pas besoin pour subsister de satisfaire le désir de sa prétention ou de dévorer la victime qu'il étreint. Nous pourrions considérer que les sentiments alyoriens conduit par l'amour, incarnés suivant les cas à des degrés divers, sont la douceur, la tendresse et le don de soi, ainsi que la fidélité prise dans le sens du respect de la parole donnée et non dans celui de l'attachement.

Traité Historique Alyorien : L'historien Narynas (356-398 après Ona) est à l'origine de l'ouvrage historique le plus connu du pays, base de nombreuses réponses en ce qui concerne les origines de certains us et coutumes alyoriens. En guise de conclusion à notre tour géographique et culturel de l'Hippocratie, nous vous retranscrivons ci joint, à titre d'exemple concret, le texte soulignant la 317ème année après Ona :

" Le Soleil déclinait rapidement et les ombres du crépuscule se faisaient de plus en plus noires. Cette journée de 317 ap. Ona, trois jours après l'équinoxe d'automne, avait été le sombre théâtre de la chute de plusieurs cavaliers et de leurs messages. À l'égard d'un vaste royaume équestre, un tel événement aurait presque pu passer inaperçu. Et pourtant...
Deux semaines auparavant, une grande partie des Forces Hippocratiques s'était rassemblée au son de puissants cors d'appel dans la vaste plaine de l'Orhän, menée par le Roi Surhippiarque ; puis, de là, étaient partis surveiller les subfrontières internes de la région du Massif forestier du Cheval Fougueux. En effet, une coalition rebelle semblait menacer en cet endroit la paix et l'harmonie défendues.
Il s'agissait d'un piège, et c'est seulement alors que les riches cités alyoriennes, vidées des forces mobilisées, découvrirent avec effroi qu'une armée inconnue s'était dévoilée aux frontières et avait traversé le fleuve Dregnor en direction d'Eponaïs, la Capitale hippocratique. La cavalerie de réserve avait immédiatement tenté de freiner leur avance, tandis que plusieurs messagers avaient franchi les portes de la ville au grand galop pour informer le Surhippiarque et ses armées coalisées de l'urgence d'un retour. Las ! Il ne s'agissait point, comme le crurent tout d'abord les alyoriens, d'une simple armée en quête de pillage, mais bien plutôt d'une puissante offensive organisée. La cavalerie était revenue, épuisée, et tous les messagers furent interceptés.
Alors que le dernier messager échouait dans sa mission, un prisonnier fut capturé par les cavaliers d'Alyor. Celui-ci leur révéla le véritable dessein de l'offensive ; dessein qui assombrit les coeurs de tous au point qu'ils manquèrent défaillir. Le Bois Royal était leur cible prioritaire. Or, si la Lignée Équine était détruite, l'Hippocratie chuterait aussi sûrement que possible...
La fin d'Alyor se profilait-elle déjà, quelques siècles seulement après sa fondation ? Les cavaliers de l'Hippocurie Blanche, dédiés corps et âmes à Eponia, s'organisaient et tous savaient qu'ils combattraient avec la plus grande vaillance. Mais que pouvait un petit contingent armé, fut-il d'élite, contre des forces hostiles nombreuses et bien déterminées qui se rapprochaient toujours davantage ?
Il se trouva toutefois qu'un jeune garçon qui passait nombre de ses journées dans les bois découvrit un des chevaux des messagers, hennissant tristement. Ryan, car tel était son nom, réussit sans peine à apaiser l'animal, car il aimait grandement les chevaux ainsi que la plupart des Alyoriens. Il n'osait monter un cheval marqué des armoiries hippocratiques et ne doutait pas qu'il fut capable de retrouver les écuries dont il était issu, aussi il voulut le laisser. Auparavant, il lui défit la selle ouvragée légère qu'il portait, peu habitué à voir des chevaux ainsi harnachés du fait des traditions équestres très libres de son pays. Or, en faisant une telle chose, il découvrit soudainement un pli cacheté de cire... De fait, il était courant en Alyor que les messagers de grande importance gardent ainsi un double de leur message. Alors, il vit que le destinataire de la missive n'était nul autre que le Surhippiarque d'Alyor en personne et, se sentant pousser des ailes et rempli de l'espoir secret d'avoir trouvé là une occasion inespérée de réaliser un exploit qui répondait à ses rêves d'aventure, il sauta lestement sur le dos de la noble bête sans même prendre le temps de réfléchir davantage. Il galopa au plus vite à la poursuite du Roi Surhippiarque, qui était récemment passé avec ses armées dans son village même.
Peu de temps après ces événements, les envahisseurs étaient en définitive déjà arrivés en vue de leur objectif. Alors, de nombreux jours, l'Hippocurie Blanche et les derniers défenseurs s'étaient dressés contre leur avance, mais l'épuisement faisait maintenant son oeuvre, et le Bois était déjà à portée de l'ennemi. Aussi, malgré leur fatigue, les Alyoriens s'étaient rassemblés en ligne, formant un fragile rempart devant le Bois et sa Lignée. La dernière charge fut alors lancée dans toute sa force ; se redressant, le Capitaine Blanc cria de toute la force qu'il lui restait « Pour Eponia ! » et, galopant devant ses hommes, ils s'ébranlèrent à leur tour, décidés à combattre jusqu'au bout. Seuls, parmi la marée déferlante et hurlante.
Seuls ? Tout à coup, la note haute et claire d'un Cor d'appel se fit entendre. Plus haut sur la colline avoisinante, arriva la Première Ligne Alyorienne, les cavaliers les plus rapides de toutes les cavaleries d'Alyor, revenus de leur expédition en hâte. Là bas, un courageux jeune garçon était arrivé au terme de sa quête.
Tous s'immobilisèrent. Bientôt, une cacophonie de cors retentit à leur tour, annonçant l'arrivée de la plupart des autres forces du pays qui avaient également forcé l'allure jour et nuit. Leurs armures scintillants au soleil et leur énergie entraînèrent sur-le-champ la débandade parmi les forces d'invasions, sans même combattre.
Depuis ce jour, la Victoire dite de Ryan fut déclarée jour de fête. Quant à Ryan lui même, il s'éprit d'une prêtresse eponienne et demeura le reste de sa vie à la capitale Eponaïs en tant que Premier Messager Hippocratique. "
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